Le rapport, qui analyse les conditions des travailleurs étrangers, résume les résultats de plus de 2.350 inspections. L’enquête a été réalisée l’année dernière.

Près de la moitié des lieux de travail inspectés versent aux travailleurs des salaires inférieurs au minimum légal requis par les conventions collectives. Les secteurs les plus touchés sont la construction et la restauration, où plus de la moitié des inspections ont révélé des manquements.

En Finlande, il n’existe pas de salaire minimum général fixé par la loi, mais il est déterminé par des conventions collectives dans les différents secteurs de travail. En vertu de la législation finlandaise, le niveau des salaires fixé dans les conventions collectives doit être respecté, tant pour les travailleurs finlandais que pour les travailleurs d’autres nationalités.

Par exemple, dans le secteur de la construction, le salaire minimum est de 11,25 euros de l’heure. Dans ce cas, le salaire mensuel brut d’un travailleur à temps plein est de 1 798,4 euros.

Salarié ou non ?

Selon un rapport, les situations où les relations de travail sont déguisées en emploi indépendant ou en travail autonome sont en augmentation.

En outre, des problèmes ont été constatés en ce qui concerne la conclusion de contrats de travail et de contrats d’emploi. Les contrôles ont révélé des situations où des travailleurs pensaient avoir un contrat de travail alors qu’en réalité ils travaillaient sous un contrat de travail avec des conditions moins favorables pour le travailleur. Par exemple, dans ce cas, le travailleur n’est pas payé pendant son congé.

Selon certains employeurs, les travailleurs étaient « juste venus pour les aider ».

Des fonctionnaires ont rencontré des travailleurs étrangers dans les salles du personnel de restaurants dont l’emploi n’était pas formalisé. Selon certains employeurs, les travailleurs étaient « juste venus pour les aider ».

Quinze pour cent des travailleurs contrôlés n’avaient pas le droit de travailler en Finlande. Les citoyens de l’UE sont autorisés à travailler en Finlande sans entrepôt distinct, mais les ressortissants de pays tiers ont besoin d’un permis de séjour pour travailler. Les ressortissants de pays tiers ont besoin d’un permis de séjour pour travailler. L’exception est le travail de courte durée, mais celui-ci doit également être officiellement enregistré.

Le rapport note que le nombre d’infractions n’a pas changé de manière significative depuis 2021.

Près de 70 000 citoyens estoniens résident en permanence en Finlande.

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