L’enquête sur le géant technologique, qui a été lancée dans le cadre d’allégations de pratiques commerciales trompeuses et de prescription, est en cours depuis le mois de décembre. La plainte contre Apple a été déposée par l’organisation Halt Planned Obsolescence (HOP), qui lutte contre l’obsolescence programmée.

Selon l’organisation, l’enquête espère démontrer que le fabricant de l’iPhone « associe les numéros de série des pièces de rechange à ceux du smartphone, notamment par l’utilisation de puces électroniques, ce qui lui donne la possibilité d’empêcher les réparations par des réparateurs non agréés ou de dégrader à distance un smartphone qui a été réparé avec des pièces génériques ».

L’association appelle Apple à « garantir le droit à la réparation des appareils dans la logique d’une véritable économie circulaire ».

Apple a accepté de payer 25 millions d’euros en 2020 pour ne pas avoir informé les utilisateurs d’iPhone que les mises à jour logicielles pouvaient ralentir les anciens appareils. Le scandale a éclaté en décembre 2017 lorsque le géant américain de la technologie a admis que son dernier logiciel iOS ralentissait les performances des anciens téléphones.

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